Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
"interZona presenta una nueva edición de la primera traducción de la obra de Steven Millhauser hecha en la Argentina, un trabajo exquisito de Marcelo Cohen.Fines del siglo XIX: la época que dio luz al tren y la fotografía concluye para dejar paso a la del cinematógrafo. Sin embargo, en una avenida bulliciosa de Berlín cientos de paseantes se agolpan contra las vidrieras de un emporio comercial, atónitos ante unos muñecos animados capaces de expresar emociones con todos los rasgos de la cara. El creador de esas maravillas es un joven provinciano que aprendió los secretos de la mecánica en la relojería de su padre. Su fantástico don para fabricar autómatas de vivacidad sobrenatural y un erotismo melancólico le ganará un lugar, primero, en los escaparates de la moda, y luego en la vida nocturna berlinesa. Pero ese talento que hechiza a algunos adeptos no podrá con la tosca sensualidad de las nuevas masas urbanas.A August Eschenburg no le importa soñar ôsueños erradosö. A Steven Millhauser, tampoco. Y la literatura, y la inquieta prosa del mundo, lo agradecen y se alumbran, por un instante, como vidrieras.María Negroni