Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
‘Dingen die we verloren in het vuur’ van Mariana Enriquez is een eenentwintigste-eeuwse remix van dirty realism, Edgar Allan Poe, Julio Cortázar en Shirley Jackson. Mariana Enriquez durft álles, haar werk is tegelijkertijd klassiek en volstrekt modern, heftig origineel, feministisch, anti-feministisch, politiek, apathisch, afstotend, verslavend, duister, komisch. Enriquez weigert bovendien van haar personages slachtoffers te maken en daarom zijn ze zo geloofwaardig. Hoeveel vrouwen er ook worden misbruikt, de meeste zijn bepaald geen toonbeeld van deugdzaamheid. Ze vechten, zijn jaloers, of soms gewoon gemeen op een terloopse manier. En ze moraliseert evenmin, ze geeft je niet eens altijd een exact idee van wat er aan de hand is, maar haar personages blijven nog lang en levendig in je geheugen hangen. Het vaak horrorachtige, onderhuids dreigende in haar verhalen contrasteert ze met een subtiele, gortdroge humor.