Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Bereits in "Mean Streets" im Jahre 1973 gelang Martin Scorsese eine Szene, deren Kombination von Bild und Musik Kultstatus erlangte: Der Auftritt Robert De Niros zum Song "Jumpin' Jack Flash" der Rolling Stones sollte nur der erste Wurf eines Regisseurs sein, der es wie kaum ein anderer verstand, Musik und Film zur Einheit zu verschmelzen. Martin Scorseses Werke zeigen eine Fülle von Facetten der Komposition von Bild und Ton und zeugen von einer Musikkenntnis jenseits stilistischer und zeitgeschichtlicher Befangenheit. Ob in Bernard Herrmanns Soundtrack zu "Taxi Driver" (1975), ob als Hommage an die goldenen Zeiten des Jazz in "New York, New York" (1977) und "Raging Bull" (1980), ob in Peter Gabriels Originalkomposition zu "The Last Temptation of Christ" (1987), in zahlreichen Reminiszenzen an die Oper oder in Konzertdokumentationen wie "The Last Waltz" (1978), "Feel Like Going Home" (2003), "No Direction Home" (2005) oder "Shine a Light" (2008) - immer wieder ist es Scorsese gelungen, den Zuschauer zum Zuhörer zu machen.
Der zweite Band der Reihe "FilmMusik" nimmt daher das Werk eines der musikalischsten aller Filmregisseure in den Blick, mit Beiträgen zu Scorsese und Oper, zu präexistenter Musik als Autorensignatur, zur Schizophrenie der Musik in "Taxi Driver", zur stilistischen Vielfalt der verwendeten Musik in "The Wolf of Wall Street" und zu Scorseses Arbeit mit seinem "music supervisor" Robbie Robertson.