Ici, pas de Nietzsche de représentation, affirmateur d'une quelconque volonté de puissance quelque peu schopenhauerienne ; pas de Nietzsche surhumain, prêt à considérer l'homme comme un pont, et non un but. Ici, c'est le Nietzsche humble qui fait face, celui que l'on aime ; facétieux, farceur, prêt à transformer l'univers entier en une vaste comédie ("Le gai savoir"). Le Nietzsche analyste et amoureux des arts, enfin ("L'origine de la tragédie")...
Traduction de «Die Fröhliche Wissenshaft (La Gaya Scienza)», par Henri Albert et traduction de J. Marnold et J. Morland pour "l'origine de la tragédie" (Die Geburt der Tragödie).
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