Ce tour du monde insolite et drôle vous fera découvrir l'histoire et les modes de vie de plus de 170 pays. Au fil des pages, vous apprendrez que, contrairement aux idées reçues, les Esquimaux ne construisent pas d'igloo ; vous découvrirez où l'on a pour la première fois résolu un crime à l'aide d'empreintes digitales, mais aussi pourquoi il est si malvenu de mourir à 81 ans au Bhoutan, ou comment reconnaître le code secret utilisé par les cambrioleurs en France.
Anecdotes historiques, culturelles, politiques, mélange d'informations sérieuses et cocasses, ces miscellanées sans frontières vous guideront aux quatre coins du globe et au coeur des pays les plus méconnus, pour saisir l'âme et l'histoire des peuples du monde.
Arthaud
Réponses aux questions de la quatrième de couverture :
¤ Le mot Esquimau - « mangeur de viande crue » en algonquin - est employé par les Européens depuis le XVIIe siècle pour désigner l'ensemble des populations de l'Arctique qui, depuis la Sibérie orientale, se sont disséminées progressivement à travers le détroit de Bering, en Alaska, au Canada et au Groenland.
Depuis les années 1970 cependant, certains rejettent cette appellation, jugée péjorative. Au Canada, on lui préfère le terme d'Inuit - en référence au peuple du même nom -, et de Kalaallit au Groenland. « Esquimau » est néanmoins toujours utilisé en Alaska, mais il convient de faire une précision : parmi les Esquimaux, seuls les Inuits construisent des igloos - ce qui est d'ailleurs de moins en moins le cas, avec le passage à un mode de vie moderne.
¤ C'est à Buenos Aires qu'un crime a été résolu pour la première fois à l'aide d'empreintes digitales (1892).
¤ II est fort malvenu - et pratiquement tabou - de mourir à 81 ans au Bhoutan car, dans la morale traditionnelle du pays, il existe 81 types de mauvaises actions.
¤ Code secret des cambrioleurs français : voir p. 101.