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"Ich bin rein arisch, mein Stammbaum nimmt gar kein Ende. Es kotzt mich an, sowas sagen und schreiben zu müssen." (Irmgard Keun an Franz Hammer, 1935)Im Sommer 1935 erhält die Schriftstellerin Irmgard Keun (1905-1982), deren Romane von den Nationalsozialisten verboten worden sind, Post von einem unbekannten Kollegen. Franz Hammer (1908-1985) ist nach der Machtübernahme Hitlers verhaftet und anschließend zu Zwangsarbeit verpflichtet worden. Dennoch hat er - wie Irmgard Keun - das Schreiben nicht aufgegeben. Zwischen beiden entsteht rasch eine warmherzige Brieffreundschaft, die auch nicht abreißt, als sie sich entschließt, ins Exil zu gehen.Da Irmgard Keun kein Archiv hinterlassen und biografische Spuren verwischt hat, besitzt der Fund von zwanzig Briefen und Gegenbriefen im Literaturarchiv der Akademie der Künste, Berlin besonderes Gewicht. Die Autorin schildert, wie sie ihre illegale Publikationstätigkeit im "Dritten Reich" organisiert und wie sie vergeblich versucht, zur Reichsschrifttumskammer zugelassen zu werden. Nach ihrer Flucht aus Deutschland berichtet Keun über die prekäre Existenz als Exilschriftstellerin.Weitere kürzlich aufgefundene Briefe, unter anderem an ihren Ehemann Johannes Tralow (1882-1968), stammen aus der Zeit von Keuns Rückkehr nach Deutschland im Jahr 1940. In ständiger Gefahr, ins Konzentrationslager zu kommen, schlägt sie sich bis Kriegsende durch. In den Trümmern ihres Elternhauses beginnt sie, wieder für den Rundfunk zu schreiben.Auf die Spuren Irmgard Keuns in Berlin begibt sich Autor und Herausgeber Michael Bienert im vbb-Titel Das kunstseidene Berlin. Irmgard Keuns literarische Schauplätze (2020).