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Die Feuer, die in Australien, Kalifornien oder Brandenburg seit einigen Jahren ganze Landstriche Sommer für Sommer heimsuchen, sind verheerend. Noch größer sind jedoch die ganz alltäglichen Feuer, die in technischen Anlagen am Rande oder inmitten der modernen Metropolen, insbesondere in Asien, Amerika und Europa brennen: in Kraftwerken, in Hochöfen, in Zementwerken, in Industrieanlagen und nicht zuletzt auch in jenen rund 1,4 Milliarden Verbrennungsmotoren, mit denen weltweit Menschen und Waren bewegt werden. Alle diese Feuer müssten in diesem Jahrzehnt auf weniger als die Hälfte zurückgefahren werden, in zwanzig, spätestens in dreißig Jahren dürfte keines mehr brennen, wenn der Klimawandel noch beherrschbar bleiben soll. Ob und wie dies möglich ist, ist dabei nicht nur eine naturwissenschaftliche und technische, sondern auch eine philosophische Frage. Denn das Feuer ist nicht irgendein Hilfsmittel, es ist vielmehr die universelle Technik schlechthin, mit der Menschen ihre künstlichen Umwelten nicht nur schaffen, sondern auch betreiben: Menschen machen Feuer, und Feuer macht auch Menschen. Welche Rolle spielt das Feuer in der Natur? Was hat das Feuer für die Menschen so attraktiv gemacht, dass sie ihm bis heute die Treue halten? Und wie ließe sich der Big Burn, der unser Zeitalter auszeichnet, reduzieren, um zumindest einen Teil der Natur vor den Zerstörungen der feuernutzenden Menschen zu retten?