Le merveilleux n’a cessé de fasciner depuis des siècles. Les contes transmis oralement autrefois et les oeuvres fantastiques emblématiques ont permis à un nouveau genre de se faire une place, jusqu’à devenir un courant à part entière. C’est dans les années trente que de nombreux auteurs ont dévoilé cet univers dans lequel tout devient possible. En effet, Robert E. Howard, C. S. Lewis et J. R. R. Tolkien ont contribué à le faire briller en créant des mondes qui ont pris vie et se sont inscrits dans l’histoire. Prenons l’exemple de J. R. R. Tolkien qui a créé de toute pièce son propre univers. S’inspirant de nombreux mythes, J. R. R. Tolkien a passé sa vie à mettre sur pied et structurer ce monde complexe. Depuis, Le Hobbit et Le Seigneur des anneaux ont vu énormément de dérivés. Ces oeuvres fondamentales ont marqué les esprits, mais également le marché du divertissement sous toutes ses formes.
Bien que souvent liée à la science-fiction, la dystopie est une oeuvre d’anticipation décrivant le monde tel qu’il pourrait devenir. Désignant les dérives possibles de
notre société en se basant sur l’actualité, ces histoires anticipent le sort de l’humanité avec pessimisme. Les premiers gros succès de ces fables sociologiques à but préventif se sont inspirés des ennemis de la démocratie, c’est-à dire les principaux régimes politiques du XXe siècle. Présentés au monde via 1984 de George Orwell, Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley ou encore Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, ces classiques ont donné naissance à des auteur·es qui ont popularisé le genre.
Entre autres, Margaret Atwood avec La servante écarlate et Suzanne Collins avec Hunger Games.
Tandis que le fantastique et la fantasy relèvent d’un surnaturel pas forcément effrayant, le genre horrifique est de nature plus sombre. Autrefois, nous retrouvions ce côté obscur dans les contes pour enfants, qui ont été édulcorés au fil du temps. Au XIIIe siècle, les histoires surfaient sur l’influence de l’Inquisition, puis cela a été amené à travers les romans gothiques (Frankenstein de Mary Shelley et Dracula de Bram Stoker sont considérés comme les pionniers)
du XVIIIe siècle pour se tourner progressivement vers des oeuvres macabres qui dénoncent la société, les violences et la décadence. Au XXe siècle, les auteurs s’inspirent du policier, du fantastique et de la sciencefiction, faisant briller les années septante, en permettant un renouveau et une expansion. Alfred Hitchcock, H. P. Lovecraft et Stephen King font partie des auteurs emblématiques qui suscitent angoisse, frissons et malaise.
J. R. R. Tolkien, grande référence de l’imaginaire, s’est fortement inspiré du folklore scandinave. Ces légendes ont inspiré de nombreuses oeuvres de Neil Gaiman,
dont American Gods, le conte Odd et les Géants de Glace. Son étude l’a amené à résumer ce qu’il a appris dans son recueil d’histoires La mythologie viking. Chez George R. R. Martin, les références scandinaves dans Game of Thrones se font sur de nombreux niveaux et à travers plusieurs dimensions. Nous retrouvons aussi des aspects de cette mythologie dans la saga Magnus Chase et les Dieux d’Asgard de Rick Riordan, la série jeunesse Bjorn aux enfers de Thomas Lavachery et la saga Grisha de Leigh Bardugo. Dans celle-ci, cela se ressent dans la culture de certains royaumes, notamment celui de Fjerda. Vous l’aurez compris, les oeuvres puisant leur inspiration dans les légendes scandinaves sont nombreuses.
Impressionnant par sa taille, sa force et sa capacité à cracher du feu, le dragon est exploité dans différents récits. Parmi les créatures imaginaires de J. R. R. Tolkien,
si Smaug est l’antagoniste dans Le Hobbit, Ancalagon est considéré comme le plus grand de tous les dragons et décrit comme le premier dragon ailé de la Terre du
Milieu. Du côté de Robin Hobb, sa série Les Cités des Anciens est majoritairement consacrée aux dragons. Et puis, qui n’a pas entendu parler des dragons de
Game of Thrones ou encore de Saphira dans Eragon ? En revanche, vous ne connaissez peut-être pas la réécriture de conte Déracinée de Naomi Novik dans
laquelle le dragon Sarkan est un personnage hors norme. Même Stephen King s’y est mis avec Les yeux du dragon.
Les Faes sont issues du folklore celtique. Ces créatures honorables et respectueuses des promesses craignent le fer. Il existe plusieurs races de Faes regroupées en trois espèces différentes : les Faes sauvages, les Faes élémentaires (Nymphes) et les Faes humanoïdes. Grâce à des auteurs comme Margaret Rogerson, Holly Black, Sarah J. Maas ou encore Elise Kova, ce peuple magique, maître des illusions, est de nouveau au goût du jour.
Dracula représente l’essence même du mythe du vampire. Popularisé par Bram Stocker, le vampire est à chaque fois réinventé. Il a toujours été dépeint comme
un personnage blafard, mystérieux et charmant. Dans Entretien avec un vampire, d’Anne Rice, nous constatons que Lestat est représenté différemment. Celui-ci fait
face à sa nature violente tout en mettant en lumière les parts d’ombre de l’être humain. Dans une approche plus contemporaine et inédite, Edward Cullen, dans
Twilight, illustre l’interdit et le danger face à l’innocence et à la candeur. Aujourd’hui, la saga Assoiffés de Tracy Wolff continue sur la lancée en prônant une mythologie
du vampire fraîchement revisitée.
Les pouvoirs de l’imagination sont en quelque sorte une forme très puissante de magie. Dans les fictions de l’imaginaire, la magie est considérée comme une source d’énergie, une force et une puissance effective. Elle peut être dissimulée, mais également connue et acceptée par tous, tout comme elle est pratiquée et enseignée. Par exemple, dans la high fantasy, elle est naturellement présente, tandis que dans des sagas fantastiques telles que Harry Potter, elle se révèle aux protagonistes qui apprennent à la maîtriser tout en initiant progressivement les lecteurs aux mystères de ce monde imaginaire. Par-delà la magie de Tom Felton va vous saupoudrer de nostalgie. Dans cette autobiographie, l’acteur revient sur sa carrière dans Harry Potter, les films mythiques et pleins de magie qui l’ont propulsé à l’âge de douze ans sous les projecteurs. Pour l’occasion, nous vous avons déniché des marque-pages autour de l’univers onirique. Des signets magnétiques mystiques pour s'évader en
compagnie d’outils très esthétiques. Nous avons également pensé aux friands de tours de magie ! Découvrez des coffrets permettant d’organiser un véritable spectacle de magie et d’avoir recours à des expériences à la fois magiques et scientifiques.
L'imagination transcende les frontières de la littérature, s'étendant bien au-delà des pages d'un livre. Elle prend vie dans chaque coin de notre esprit, façonnant des mondes insoupçonnés et des idées étincelantes. L'imagination est une force vitale, le carburant qui alimente nos créations les plus audacieuses. L'écriture, telle une baguette magique, transforme les mots en univers parallèles où les héros naissent de lettres et d'émotions enchevêtrées. Les pages deviennent des portails vers des réalités imaginaires. La peinture déverse des arcs-en-ciel d'idées sur des toiles blanches, faisant danser les couleurs au gré des émotions et des visions de chacun.
Toute création conçue à partir du terreau de l’imaginaire ouvre une certaine conception du possible, à la surprise, à l’onirique et à l’aventure. En fin de compte, l'imagination est la magie qui réside en nous, prête à transformer le banal en extraordinaire, à éveiller notre curiosité et à libérer les ailes de la créativité. Exprimez-vous et laissez-nous vous guider et vous conseiller grâce à notre large gamme de produits !
L’imaginaire se révèle dans la puissance du rêve, la force du symbole et le rendement de l’image. La beauté de l’onirisme réside également dans la magie de l’esprit, là où tout est possible.