«Fêtons la fin de l'or et du marbre, acceptons la paille et la boue.»Comment aborder une oeuvre qui n'est à première vue qu'un quelconque gribouillage, une toile entièrement mono-chrome, un entassement de produits dégradés ou les reliquats d'un repas, sans être dérouté, voire dépité? L'art contemporain constitue une «rupture esthétique» et désavoue tout ce qui l'a précédé. Pour comprendre il faut commencer par refuser les explications psychologiques.
De Picasso à Bollanski, promenons-nous dans la galerie de François Dagognet et admirons les «victoires» de l'art contemporain.