La comtesse d'Agoult poursuit la rédaction de ses mémoires et, dans ce but, tente de récupérer ses lettres. Elle publie celles qu'elle a reçues de Giuseppe Mazzini. Elle rédige une préface aux Oeuvres complètes de François Ponsard. Elle entame le tome II de son Histoire des commencements de la République aux Pays-Bas et prépare une publication de ses Oeuvres complètes qui ne verront pas le jour. Pour se remettre de ses crises de dépression de plus en plus fréquentes, elle passe de longues périodes dans les Deux-Sèvres où son ami Louis Tribert l'entoure de confort. Ses liens épistolaires avec sa fille Cosima se renouent intimement.
Ses relations continuent avec de nombreuses personnalités : Ernest Renan, Émile de Girardin, Émile Littré, Charles Dupont-White, Charles Blanc, Henri Martin, Désiré Nisard, Edmond Scherer, Émile Blanche, Jules Grévy. Le prince Napoléon reste un ami attentionné malgré la divergence de leurs opinions. Elle entame enfin une correspondance avec l'orientaliste italien Angelo De Gubernatis.
Sont publiés en annexe son journal et son agenda de 1875 ainsi que des lettres échangées entre Cosima Wagner et Glaire de Charnacé.