Le périphériscope est un instrument d'analyse et de création satiriques d'inspiration pataphysique et oulipienne
Il s'agit d'un recueil de chroniques pointillistes ou pointilleuses du genre « le diable est dans le détail » qui cherchent « la petite bête », notamment dans le discours des politiciens et dans les textes publicitaires ou administratifs.
Chaque texte a un ressort satirique ou présente une solution imaginaire qui en fait un objet littéraire indépendant de l'époque, même si le décor est daté.
Les chroniques sont regroupées en cinq sections :
- Les lettres ouvertes se caractérisent par leur forme épistolaire. Ces chroniques sont enrichies de coupures de presse détournées, Les petits coins de la vraie mauvaise foi, et de Photoscoops.
- Les élus lus se caractérisent par leurs sujets politiques. Ces chroniques sont enrichies de coupures de presse : Les élus frappés au coin de la vraie mauvaise foi, Les élus frappés au coin du bon sens.
- Les transfictions se caractérisent par leurs solutions imaginaires. Ces chroniques sont enrichies de coupures de presse : Les petits côtés et Les blocs erratiques.
- Les dix minutes papier sont une initiation à la périphériscopie par la bande.
- Les reportages en suisse se caractérisent par leur aspect documentaire. Ces chroniques sont enrichies de photos de panneaux de mises en garde et suivies par les ateliers de découpage : Les troubles auxquels on s'exposait en parlant du Covid, Les meilleures recettes des néofaux-culs, L'écriture inclusive châtiée, Les belles légendes broyardes.