« Juan Villoro écrit la chronique du tremblement de terre de Santiago du Chili en 2010, l’un des plus terribles que l’Amérique latine a connus. Présent lors d’un congrès de littérature jeunesse,il l’a vécu et lui a survécu. Convaincu que ce désastre devait être raconté avec des voix impliquées et représentatives, l’auteur a recueilli les récits de ses collègues présents et sinistrés.
Il en a construit un ensemble d’impressions avec ses observations et ses réflexions.8.8 - La peur dans le miroir, souvent proche de l’essai mais toujours écrit avec la vivacité de la chronique fait aussi appel à d’autres écrivaines et écrivains qui, comme Heinrich von Kleist, ont évoqué des tremblements de terre véritables ou fictifs pour découvrir et montrer la dimension littéraire d’une réalité mouvante et tragique.
Juan Villoro escribe la crónica del temblor del año 2010 en Santiago de Chile, un de los peores que se ha conocido en América latino.
Participando a un congreso sobre literatura infantil y juvenil, él lo ha vivido y le ha sobrevivido. Convencido de que había que narrar aquella catástrofe con las voces presentes y representativas, el autor recogió los relatos de sus colegas presentes y damnificados. Esto le permite construir un conjunto de impresiones con sus propias impresiones y reflexiones. 8.8 El miedo en el espejo que se aproxima muchas veces al ensayo mas quedando siempre escrito con la vivacidad de la crónica convoca también a otros escritores como Heinrich von Kleist que han hablado de sismos verdaderos o ficticios para descubrir la dimensión literaria de une realidad movediza y trágica.