Le sportif de haut niveau est-il cet « extrême contemporain » condamné à voir disparaître son propre corps par épuisement à vouloir être à la hauteur des performances et des innovations techniques ? L’homme sensible doit-il céder et s’hybrider à la machine, à l’inerte, pour satisfaire aux performances physiques attendues sur les stades, charge à l’exosquelette de battre les successeurs d’Usain Bolt ?