À la recherche des pas perdus
Dans Inédit 244, Paul Van Melle évoquait récemment la revue Pages Insulaires : « Dans cette livraison Jean-Michel Bongiraud et les amis de l'auteur consacrent un vrai numéro spécial à Maurice Couquiaud dont j'avais déjà parlé avec admiration dans plusieurs numéros, car avec Char, Guillevic ou Vigée, il est un des grands poètes qui figureront parmi les classiques du siècle XX, avec une bonne part du XXIe ».
Il y a quelque temps, je disais dans Aujourd'hui poème que Maurice Couquiaud était un poète rare. Il le confirme avec J'irai rêver sur vos tombes. Rare par son originalité. Maurice Couquiaud invente non pas une nouvelle forme mais une nouvelle inspiration, ce qui est bien plus important.
Bernard Fournier. Poésie-première n° 48
Hors de toute mode passagère, avec courage et obstination, Maurice Couquiaud continue de creuser le sillon de sa poésie profondément humaniste... Telle est bien sa quête : rendre transparente l'obscurité du monde et, par ses mots de poète, en dévoiler le sens qui ouvre à la tendresse et à l'amour de la vie.
Jean Poncet. Phoenix n° 3