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Nun gibt es eine exklusive Sonderausgabe – Fürstenkrone Classic In der völlig neuen Romanreihe "Fürstenkrone" kommt wirklich jeder auf seine Kosten, sowohl die Leserin der Adelsgeschichten als auch jene, die eigentlich die herzerwärmenden Mami-Storys bevorzugt. Romane aus dem Hochadel, die die Herzen der Leserinnen höherschlagen lassen. Wer möchte nicht wissen, welche geheimen Wünsche die Adelswelt bewegen? Die Leserschaft ist fasziniert und genießt "diese" Wirklichkeit.
Prinzessin Oda von Wartenburg sah den Fürsten Lievenstein mit freundlichem Desinteresse an. Sie war eine große, schlanke, elegante junge Dame von vierundzwanzig Jahren, mit einem schmalen, gleichmäßig blassem Gesicht, wunderschönen grünen Augen unter dichten schwarzen Wimpern, einer feinen, etwas zu langen Nase, einem schön geschwungenen Mund und einem Kinn, das mit seinem Grübchen sowohl Temperament wie auch Energie verriet. Sie war vielleicht keine klassische Schönheit, und ganz bestimmt konnte man sie nicht unter der Rubrik hübsch einordnen. Sie war mehr! Sie war interessant, apart, sehr guter Stil und man merkte ihr an, daß sie ausgesprochen intelligent war. Auch jetzt, obwohl sie kaum etwas sagte, nur liebenswürdig und höflich lächelte und nickte. Oda langweilte sich tödlich. »Weißt du eigentlich, wie lange ich schon unsterblich in dich verliebt bin?« fragte Fürst Gunnar, einer der begehrtesten Junggesellen des europäischen Hochadels. Er war groß, schlank, natürlich sehr elegant, und sah mehr vornehm als intelligent aus. Aber er war so reich, daß sich die wenigstens daran störten. Oda gehörte nicht zu diesen. »Ich glaube, das erste Mal hast du es mir kurz nach meinem Abitur vor fünf Jahren gesagt!« »Immerhin erinnerst du dich daran«, erwiderte er mit einem Anflug von Galgenhumor. »O ja.« Sie lachte. »Aber erinnerst du dich daran, was ich damals zu dir sagte?« »Natürlich erinnere ich mich! Du hast es mir inzwischen mindestes einmal im Jahr wiederholt.«