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Con prólogo de Eloy Fernández Porta.Cuando apareció en los setenta, se dijo de Kathy Acker que era la sucesora de Henry Miller, la primera pornógrafa feminista y la Patti Smith de la literatura pospunk. Sus libros fueron considerados «obscenos», «perturbadores» e «iconoclastas». Robert Mapplethorpe la fotografiaba; en Nueva York se movía en el área de Andy Warhol, Laurie Anderson y los Talking Heads; realizaba performances en Londres; los oráculos de la modernidad la entrevistaban con frecuencia; algunos críticos abominaban de ella, mientras que otros le dedicaban arduos y sesudos estudios en los que la calificaban de «feminista poslacaniana».Aborto en la escuela (1984) es su obra definitiva, la novela que acabó de encumbrarla. Janey, su protagonista, se va de casa porque su padre ?que también es su amante? se ha liado con otra mujer, y emprende un largo viaje hacia el fin de la noche narrado mediante todo tipo de recursos: «cut-ups» a o Burroughs, reescrituras y parodias de otros escritores (Hawthorne y Sade, Shakespeare y Emily Brontë), dibujos (¿obscenos?, ¿pornográficos?) y poemas, así como las más vitriólicas diatribas contra la religión, el gobierno y el lenguaje de los biempensantes, tejen la trama de este libro caleidoscópico, especie de mil y una noches de pesadilla, soñadas en los bajos fondos de Tánger y Nueva York. Libro pionero y de culto, clásico moderno del feminismo rock que anticipó múltiples preocupaciones rabiosamente actuales, Aborto en la escuela, que ahora rescatamos con un prólogo esclarecedor y enciclopédico de Eloy Fernández Porta, sigue siendo un festín de inventiva y provocación, un fantástico (y fantasioso) cóctel molotov de sexo, política y teoría que hoy resulta más saludablemente inflamable que nunca.