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« L’histoire dit que j’ai tué mon petit frère avec l’arme à feu de mon père, rangée dans le tiroir de son bureau, lorsque j’avais quatre ans. Je me souviens du bruit, du silence qui a suivi et des cris de ma mère. C’est comme un enchaînement : boum, silence, cris. À part ça, c’est le vide. »
L’année dernière, aux États-Unis, plus de 150 000 individus ont accidentellement ôté la vie à une ou plusieurs personnes. On les appelle les accidental killers.
Je m’appelle Ava. J’ai 20 ans, je suis étudiante en psychologie et je veux comprendre comment les accidental killers arrivent à vivre avec un mort sur la conscience.
J’ai besoin de savoir.
Un roman poignant sur la résilience, l’espoir et l’amour.