Adieu, Alice
Américain et asthmatique, Norman ne supporte ni la solitude
ni la vie citadine. Avec Alice, il part pour Tanger et sa douceur
méditerranéenne. Quand Alice meurt, Norman survit dans
un état d'apesanteur comme si chacun de ses gestes allait briser
le dernier fil qui le retient à la vie. Il tombe amoureux de Miss
Toledano, qui dirige la Bibliothèque américaine de Tanger.
Tout ce qu'il désire, c'est un peu de compagnie... Mais, autour
de lui, les gens disparaissent ou fuient vers d'autres horizons.
« Un grand roman tragique qui fait penser à la fois
à Paul Bowles et à Camus. »
Olivier Barrot, Un livre un jour.
« On se croirait parfois chez Modiano, un Modiano
tendance casbah. »
Éric Neuhoff, Madame Figaro.