Agonie d'agapè est le chant du cygne de William Gaddis, le monologue d'un homme rongé par la maladie et assiégé par les pages d'un manuscrit qu'il n'a cessé de reprendre au fil des ans, l'apogée d'une obsession vieille de quarante années. D'une voix singulière, il développe une réflexion sur la mécanisation des arts et le déclin de l'artiste parvenu au seuil de sa vie.