« Calypso ne pouvait se consoler du départ d’Ulysse..... »
D’une voix convaincue et persuasive, le vieux professeur rythmait religieusement la belle prose de Fénelon, balançant harmonieusement les mots, qui, dans sa bouche arrondie, prenaient une enveloppante ardeur.
Ce n’était plus un récit pompeux, débité avec emphase, mais plutôt une sorte de chant triomphal, entraînant à sa suite des idées de grandeur, de richesse et de puissance.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.