La ville, longtemps blessée ou caricaturée, entre Alger la blanche des partisans de la « nost-Algérie », ou Alger la noire de cette triste décennie du terrorisme et de la répression, manquait d'images justes. Comme si justement entre Alger la blanche et Alger la noire il n'existait rien... Le regard d'Yves Jeanmougin fait ressortir la vie dans la ville.
Thierry Fabre