
Claude Linares témoigne ici, avec l'amicale complicité de Jeannine Poitau, d'une blessure jamais fermée: celle de sa jeunesse dans l'Algérie et le Maroc des années quarante, au temps où les enfants, qu'ils fussent arabes, pieds noirs ou kabyles, pouvaient partager leurs jeux...
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