Un jeune appelé, Eugène, rejoint le contingent et est envoyé en Algérie (en «Bougnoulie»).
Et là commencent à se dérouler, sur le fond raciste de l'époque, une série d'épisodes intéressants : un lieutenant (un «Mac») est exécuté par ses hommes qui découvrent brusquement qu'ils possèdent un vrai pouvoir, celui d'aller par les moyens les plus rapides vers la paix malgré le pouvoir militaire, politique, ou celui des colons.
Bien entendu le drame de la guerre d'Algérie s'est terminé autrement. Dans cette farce tragique l'auteur règle ses comptes avec l'armée, le pouvoir politique, les colons, et le racisme imbécile.