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Arme Studenten machten einen nicht unbeträchtlichen Teil der mittelalterlichen und frühneuzeitlichen Studentenschaft aus. In den universitären Quellen treten sie in erster Linie als Nutznießer von Gebührenbefreiungen oder Stipendien auf – Angaben zu ihrem Alltagsleben sind rar. An der Universität Wien, die zu den von armen Studenten am häufigsten frequentierten Hochschulen gehörte, wurden für diese pauperes eigene Wohnhäuser eingerichtet, die sogenannten »Kodreien«. Am Beispiel des größten Armenhauses, der »Kodrei Goldberg« (codria Aurei montis), beleuchtet die Autorin den dortigen Alltag zwischen Lernen und Betteln für den Zeitraum von etwa 1470 bis 1622. Darüber hinaus untersucht sie – ausgehend von der Frage, ob die Kodreien eher Mittel der Studienförderung oder der Kontrolle waren –, wie die Behörden der Universität, der Stadt und des Landesfürsten mit den pauperes umgingen und welche Probleme sich v. a. aus deren Betteltätigkeit ergaben.