« Korema Kaolu continuait de répéter son poème boeuf et vint se mettre à genoux devant l'animal. Il lui posa sur les cornes et le front (...) un morceau de tissu de couleur noir-blanc-noir. Il pleurait et ses sanglots refrénaient souvent l'énoncé des vers. Alors, lui et tous les hommes qui avaient tiré et chanté leurs poèmes boeufs dans l'enclos s'approchèrent tour à tour et passèrent leur main pleine de cendre sur le front du boeuf. »