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Ce court texte inédit, écrit par J. Semprun en 2000 pour le premier anniversaire de la mort de sa mère Loleh Bellon (1925-1999), est une dérive sentimentale dans Paris. Il est suivi de deux essais, restés à l'état de fragments, sur le peintre P. Vinardel et l'abolition de l'art par la société de masse.