Le chant du merle au sommet d’un frêne ; les branches d’un pommier escaladé tel un mât de navire ; des fleurs de pivoine rouge sang : autant de signes accueillis comme une incitation à lire et à formuler.
Les paysages familiers ne cessent d’ouvrir, chez le poète et son double, le lecteur, l’appétit de nommer avec celui d’agrandir et d’enchanter l’espace.