1943, phare d'Armen, au large de l'île de Sein
« Tu dois bien rigoler, hein phare de malheur ? J'avais pourtant bien juré, il y a trois ans, de ne jamais remettre les pieds sur ton infâme carcasse. Et maintenant me voilà, moi, Paul-Marie Fanchec, le plus jeune gardien-chef de l'administration des Phares et Balises, obligé de collaborer avec l'ennemi. Tout cela pour permettre aux saloperies de navires de la Kriegsmarineuh, comme ils disent, de rentrer tranquillement sur Brest. »