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Pour avoir jeté à la mer le promoteur immobilier Antoine Lazenec, Martial Kermeur vient d’être arrêté par la police. Au juge devant lequel il a été déféré, il retrace le cours des événements qui l’ont mené là : son divorce, la garde de son fils Erwan, son licenciement et puis surtout, les miroitants projets de Lazenec.
« Article 353 du code pénal, septième roman de Tanguy Viel, est porté par la très belle voix de cet homme floué, quinquagénaire comme vieilli avant l’heure par le poids des infortunes et des échecs. Un homme las dont les mots s’emploient à construire la pensée, à tenter de comprendre l’agencement fatal des circonstances qui l’ont mené au meurtre. Des mots, des phrases par lesquels il cherche désespérément à tracer, dans l’espace sonore du bureau du juge, pour lui-même autant que pour le magistrat, la ligne droite des faits. [...] De multiples passerelles relient Article 353 du code pénal aux précédents opus de Tanguy Viel. Ce n’est pas dire que l’écrivain se répète. Au contraire, il bouge, il change, il se déploie. Dans un même mouvement, il approfondit sa méditation sur le choix moral, la responsabilité individuelle, le destin, et précise son geste romanesque en prenant ses distances avec les codes des littératures (et du cinéma) de genre dont il a naguère beaucoup usé. Délaissant quelque peu l’ironie au profit d’un réalisme virtuose et d’un humanisme pleinement assumé, il s’appuie sur ses personnages pour irriguer son roman d’une réflexion toute métaphysique sur le mal en l’homme. » (Nathalie Crom, Télérama)