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Bajo el título Así es el juego se reúnen los cuentos nuevos de Berbel y los que publicara en el libro El hombre que pagaba noches enteras, de 2001. Incluía aquella edición el prólogo de Rosa Regàs que precede igual el presente volumen. Supo captar Regàs no sólo la voluntad de los catorce cuentos entonces reunidos, sino también la mirada y el aliento literarios de Berbel, hoy renovados, con una madurez y tiempo de vida que se perciben entre líneas, pero que, al fin y al cabo, obedecen a unas mismas fijaciones y a una forma de entender la naturaleza humana, y en particular la femenina, de la que Regàs acertó a extraer su esencia. Se hacía eco de la capacidad sugestiva de la autora, del peso de las ausencias y de los sentimientos escondidos de los personajes, características que no sentimos ajenas a los cuentos nuevos, sino que, muy al contrario, siguen iluminando la mirada poética y profunda de la autora barcelonesa. En ellos, tal como destaca Rosa Regàs, Berbel emplea «un lenguaje metafórico hecho de sugerencias, no tanto por la economía en la expresión como por el deseo de hacerle un hueco al lector»; de