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Avec l’exceptionnelle puissance d’évocation qui le caractérise, Chaïm Potok reconstitue pour nous – à l’aide de cette grammaire du souvenir qui régit l’ensemble de son œuvre – les difficiles débuts de David Lurie. Fils d’immigrants juifs polonais, enfant malade à la sensibilité exacerbée, celui-ci ne connaîtra que quelques années d’enfance paisible avant la crise de 1929, où il fera l’apprentissage d’un monde en plein désarroi, avant de prendre conscience de l’horreur de la guerre et de la barbarie nazie. Le petit garçon fragile deviendra un grand théologien au prix d’une rupture avec une tradition religieuse dont les enseignements ne lui paraissent pas assez approfondis. Il devra aussi s’exposer à perdre ce qui lui est le plus cher : l’affection et la compréhension des siens, l’approbation de ses maîtres et de ses propres certitudes. À travers le New York de la Dépression, Chaïm Potok évoque ici avec une minutieuse tendresse les joies et les peines d’une famille juive. Cette vaste fresque se termine par un déchirant pèlerinage de David à Bergen-Belsen, l’un des camps où se mêlent à tout jamais les racines et les cendres du peuple juif.