L’auteur part à la recherche des traces du jeune Hô Chi Minh à l’époque où il s’appelait Nguyên Ai Quôc et où il habitait Paris, ce temps où il affûtait les armes idéologiques de la révolution qu’il allait mener en “Indochine” avant d’être pris par les logiques propres au pouvoir. Une marche aux allures de méditation sur ce qui fait la grandeur des modestes et sur le caractère indépassable de la révolte.