« Avec prudence et patience, elle avait expliqué ce qui sera pour faire comprendre ce qui était, ils seront tous deux comme des parents pour Sylvius qui devra être roi car qui d'autre que lui pouvait l'être puisqu'il était en quelque sorte le fils de la reine bien qu'il ne le fût pas. » Extrait de « Sylvius ».
« Maîtres, je ne me plains pas, je goûte le fruit mûri des histoires qui passent et je crains qu'elles ne s'évanouissent. » Extrait de « Sous les pas du blaireau ».
S'il est bon de faire entendre des histoires, il faut préciser que les nôtres, lecteur, ne sont pas à entendre au sens ancien qui veut dire comprendre mais au sens moderne qui passe par l'oreille car, dit Cicéron : « le discours doit chercher le plaisir de l'oreille », ce que rapporte Aulu-Gelle. C'est donc que lorsque tu liras par les yeux, tu entendras par les oreilles ce que disent ces paroles dégelées, selon Rabelais. Ainsi sache, lecteur très cher, que ce que nous racontons, c'est pour la musique !