« À moi le beau hasard dont j'ai su profiter et dont jusqu'à la mort je veux rester hanté, Germaine, eh ! oui, toi-même !... - Il nous reste à savoir avec quel art, l'un ? l'autre ? on aida le hasard. La première rencontre - était-ce dans les nues ? - avant notre naissance est de nous inconnue. La seconde ce fut Closerie des Lilas, face au Maréchal Ney foudroyé là, hélas ! Derrière sa statue un Cupidon vainqueur tirait de l'arbalète et perça nos deux coeurs de légers et longs dards, tout à fait par hasard ? Je n'en crois rien. Toujours il vise aux coeurs l'Amour. Ô le subtil gaillard ! »
Paul Fort