Je défends l'idée qu'une oeuvre est légitime parce
qu'elle n'avait pas d'autre choix que d'être une
oeuvre, et qu'elle se nourrit de quelque chose
d'irrationnel et de précieux ; dans mon cas, la rancoeur
précédemment évoquée, le fait de ne pas
savoir tuer, qu'il me faut bien sûr transformer en
matériau poétique, pour pouvoir être un autre.