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Il y a 30 ans, mai 1958. De Gaulle revient au pouvoir. Dans l’ombre s’agite un nébuleux groupe activiste. Dès 1957, ils veulent voir le général Cogny, gaullien fidèle, régner à Alger d’où ils comptent bousculer un gouvernement faible et une IVe République à l’agonie. Mais, sur place, Salan fait obstacle. Il incarne le général républicain Vieille-École. On le surnomme « le Mandarin », souvenir de ses campagnes d’Extrême-Orient. Franc-maçon, on le soupçonne d’influences occultes : « Qu’on le liquide, décident ses ennemis, sinon il cisaillera le retour du Général ! » Qui se chargera de la mission ? Une bande : le docteur Kovacs, ex-Hongrois, mystique ; sa femme, pasionaria qui lit dans les astres et… Philippe Castille. C’est lui qui appuiera sur la gâchette du bazooka Très boy-scout, ex-officier, ancien para. Sang, prison, barricades vont jalonner ce récit historique. On y verra l’OAS, à pleins feux, jusqu’à « la nuit bleue » du plastic qui, en 1962, traumatise Paris. Condamné par De Gaulle en 1958, amnistié au seuil de mai 1968, Philippe Castille n’avait jamais parlé. C’est à Bob Maloubier qu’il s’est confié. Pourquoi ? Parce qu’à la création du 11e Choc de la DGSE, ils ont tâté ensemble plastic et bazooka… Il subsisterait aujourd’hui un rapport secret, prouvant sans conteste un complot…