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Roman des «Études de mœurs» balzaciennes, Béatrix (1839) retrace l’éducation sentimentale de Calyste du Guénic, jeune homme breton aspirant à la beauté et à l’intelligence. Par l’entremise de sa protectrice Camille Maupin, écrivaine et musicienne mondaine, il rencontre Béatrix de Rochefide, incarnation de la femme fatale, dont il ne tarde pas à tomber éperdument amoureux… Selon Julien Gracq, «la psychologie de Balzac atteint ici à des perspectives qu’on croirait à tort réservées au seul Dostoïevski. Dès le début de ce roman […], Balzac nous fait entendre fortement qu’il ne saurait y avoir de tragédie véritable sans la conjuration de ces forces obscures que les écrivains classiques nomment fatalité, mais que lui, Balzac, fidèle à son sens galvanique de l’homme, à sa croyance instinctive en la toute-puissance de la volonté, nous révèle ici n’être rien d’autre qu’un profond, un radical goût du malheur».