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Martin Westenbergers zweiter Gedichtband in meinem Verlagsprogramm - wiederum in erzählerischer Geste, wiederum im Ton zwischen leichtfüßig daherkommenden Beob-achtungen und verblüffenden Fragen nach dem, was wir als Status quo ansehen wollen.Ohne Übergang gehen diese Gedichte aus den Titeln heraus los, von einem alltäglichen Stichwort in die szenische Ausleuchtung gesellschaftlicher Zustände - und fragen schlicht nach dem Wahrhaftigen in den Trugbildern, denen wir uns sonst überlassen, maximal ein kurzes Unwohlsein spüren: jeder spürt beim gehen mitunter etwas sprödes, das sich nicht anschmiegen will an die zellwände des inneren selbstIst es Pop, wenn Martin Westenberger seine Gedichte mit Mode-Marken füttert oder mit Größen des Sport-Business verknüpft, Emojis sprechen läßt oder Suchbilder in Baumärkten aushängt? Und was macht es, wenn es Pop ist:das weiß jeder,so unterwegs mit seinerselbst gebastelten laterneSeine Gedichte seien »skelettierte Erzählungen, die den Leser mit einem erschrockenen und einem grinsenden Auge ratlos machen. Und dann, beim Auflachen, wird man unsicher, ob das angemessen ist«, hat Ralf-Rainer Rygulla formuliert. Eine Zwischenetage, die Martin Westenberger auch in seinen Lesungen öffnet. - Martin Westenbergers Gedicht »ein kartoffelstempel« habe ich in den »EU-Lyrik-Reisepass« aufgenommen - genau die richtige Art von kindlich forschendem und nach Gültigem suchendem Blick für den Dichter-Pass.