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En 1752, Louis XV n’est plus le « bien-aimé », depuis longtemps déjà. La France est terrassée par la misère : laboureurs réduits à la famine, terres épuisées ou en friche. On accuse l’impôt, si lourdement et si injustement levé par une bande de coquins dont la puissance représente un État dans l’État. Un homme se dresse « pour délivrer le peuple de l’épouvantable tyrannie des Fermiers généraux ». Il a vingt-sept ans, il est né en 1725 à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs en Dauphiné, il s’appelle Louis Mandrin et on le surnomme Belle Humeur. Stratège de génie, il devient en quelques mois l’homme le plus redouté des Fermes et le plus populaire de France. « Ce Mandrin a des ailes... Il a la vitesse de la lumière... Il fait trembler les suppôts du fisc... Le peuple aime ce Mandrin à la fureur », écrit Voltaire dans sa correspondance. Il parcourt villes et villages, et la légende grandit au rythme de ses exploits contre les armées des Fermiers généraux. Il fait renaître l’espoir. En Savoie, où il vit au grand jour dans le château de Rochefort-en-Novalaise, les Grands le craignent et se l’arrachent, les femmes en raffolent : une soirée n’est réussie que si Mandrin y assiste !