«Pour moi, Biarritz sera toujours le souvenir basque d'un certain bleu que les intempéries, ni la fureur de la mer, ni l'oubli, n'ont pu ni ne pourront jamais ternir.»
José Jorge Letria promène le lecteur, du pas réfléchi d'un visiteur attentif, en évoquant tour à tour les charmes du passé et les défis de l'avenir, des ombres illustres - Eça de Queiroz, Tchekhov, Nabokov... - et le souvenir intense et poignant de sa première visite en l'été 1967, quelques semaines avant la mort de son père.