Brumes à venir : à la recherche de la Belgique
Une fois par an. Moins peut-être. Au début nous revenions peut-être moins d'une fois par an. Et encore : pour ce qui me concerne, « revenir » est exagéré, mon corps y allait sans moi.
Ma Belgique tout entière dans ces flottements, dans cette spirale inconfortable.
Elle tient peut-être uniquement à cela, cette attraction a posteriori pour le pays natal : décortiquer un territoire où j'ai appris et désappris la légèreté dans un temps minuscule.
Pourtant, pas un pays où l'on se prenne moins au sérieux...