Le « métier d’historien » mené en Afrique par un Européen de la fin du XXe siècle est un combat à la fois scientifique et éthique pour aller au-delà des écrans placés par ses ancêtres « ethnographes ». L’auteur nous offre ici un exemple des problèmes spécifiques de l’écriture de cette histoire et un témoignage sur les retrouvailles du Burundi avec son passé, au moment où ce pays est tragiquement déchiré par des intégristes ethniques.