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Petr Král est un poète-piéton. Il marche et repère ce que, dans la bousculade moderne, on n’aperçoit pas, une bouche de femme qui avive la marge de la ville, la feuille morte qui aiguillonne une voiture en glissant sur son toit, la mystérieuse zone du plafond qu’on désigne quand on enfile son manteau; il voit la viande qui tourne sur une broche « au milieu du cosmos ». Ces carnets qui parcourent quarante ans, de 1968 à 2006, rendent nostalgique d’un Paris qui disparaît progressivement comme la neige qui fond au soleil. Mais ils sont écrits avec un ton réjouissant et irrévérencieux où l’humour le dispute à la poésie. Un livre rare.