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"Je ne vis qu'elle, tante Câline. Serrée dans un pantalon jaune canari comme je n'en avais jamais vu, un chemisier blanc échancré sans manches, elle grimpait les marches du perron de granit, embrassait mes grands-parents venus l'accueillir. La radio était restée allumée, et les Beatles achevaient She Loves You dans l'indifférence générale. En riant, elle commença à raconter son pique-nique sous l'eau, exhibant comme preuve de la débâcle ses longs cheveux blonds et frisés aplatis par l'orage. "Ils sont tout écrasés, je suis affreuse", minaudait-elle, les joues en feu. Elle était sublime. S'avisant de ma présence, elle déposa un baiser distrait sur mon front, passa une main dans mes cheveux : "Tiens, Elie, dit-elle, va aider tes cousins à débarrasser le coffre." Malgré tous mes efforts pour attirer son attention, c'est la seule phrase qu'elle m'adressa ce jour-là."