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Paul Jamot (1863-1939), peintre, critique d'art et
collectionneur des plus grands artistes de son temps,
directeur du musée de Reims de 1917 à sa mort, prend
ici la défense de Jean-Baptiste Carpeaux, injustement
attaqué selon lui pour son peu de talent de peintre...
Dans cette «science» étrange de l'appréciation du
beau, les avis ont toujours été partagés, mais pour ce
qui concerne Carpeaux, le doute n'était guère permis.
C'est la sculpture !
En cour chez Napoléon III, bénéficiaire de plusieurs
commandes publiques prestigieuses, il laisse des
oeuvres admirables, où le mouvement paraît toujours
animer et transcender le bronze, le plâtre ou le
marbre, avec l'indéfinissable sourire que lui a offert
Anna, la fille aînée de son ami Foucart...