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En novembre 1998, un fait divers hors du commun fait la une des journaux. Une jeune Maghrébine de vingt-six ans vient de mourir de faim à Paris, dans le petit appartement du quatorzième arrondissement qu’elle partageait avec sa sœur. Celle-ci, secourue dans un grave état de sous-nutrition, va être sauvée de justesse. Comment les deux jeunes femmes ont-elles pu préférer une dignité muette à la survie ? Bouleversée par cette affaire, l’auteur a imaginé leur histoire. Leur mère, jamais guérie de son exil, organise les retours au village natal, bras chargés de cadeaux qui la ruinent. Amira, la petite, née en France, blanche de peau, se fait appeler Marie, mais perd l’appétit, aux prises avec une maladie que, là-bas, on ne connaît pas, l’anorexie. Et puis, l’accident du père… Les mots simples, dépouillés de toute dramatisation, empreints de la nostalgie et des parfums du passé, mettent en place le mécanisme impitoyable qui broie les exilés. Attirés par le mirage français, réduits à une précarité aggravée par la référence à une double culture, ils ne peuvent revenir en arrière. Ni avouer leur défaite et leur misère. Il ne s’agit pas ici d’un règlement de comptes avec la France, ou avec l’Algérie. Et, malgré l’évidente gravité du sujet, c’est avec une grande pudeur que Fawzia Zouari nous entraîne dans une réalité que la fiction transcende.