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De la chaussure de Khrouchtchev, agitée par lui en plein débat à l’ONU, et du célèbre « Vive le Québec libre » de De Gaulle à la savoureuse « fellation » (inflation ) chère à Rachida Dati ; du leader espagnol Aznar qui – énervé par la question d’une journaliste – lui répond en glissant un stylo dans son soutien-gorge à l’innombrable série des « performances » de Silvio Berlusconi; des gaffes de Nicolas Sarkozy pour qui les « prévenus » deviennent des coupables, à celles innombrables des George Bush père et fils, en passant par Gordon Brown qui durant sa campagne traite, une fois dans sa limousine, micro-cravate allumé, une veuve avec qui il venait de s’entretenir courtoisement de « vieille femme bigote » et « bornée », ce qui lui coûta fort cher, les puissants de la Terre sont d’invétérés gaffeurs. Leurs gaffes révèlent leur personnalité; elles font souvent aussi partie intrinsèques de la communication politique. Car il y a gaffe et gaffe : le « lapsus freudien », la phrase qui échappe en présence d’un micro malencontreusement ouvert, la phrase qui exprime arrogance et mépris pour les autres, mais aussi celle, innocente et sympathique qui relève de la stratégie la plus calculée. Le journaliste italien Alberto Toscano, observateur attentif de la vie politique européenne, traite avec humour toutes ces gaffes commises par les plus hautes personnalités politiques de nos pays.