Chemin des centaurées
Pour toi
le végétal attrait d'un monde inconnu,
avril et sa brise, avril et sa course.
(Nous bouclés serrés.)
Le bois vivant de commencement
ne se lève plus. Il nous attache au sort de l'arche.
Tout commence à peine, toujours.
Le pas identique, sa cadence
poussent vers le creux val d'une forêt
que j'invente.