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Un document ancien a persuadé François Balsan que l’élite des Mambukush chassés du Zambèze par les Barotsé vers 1800 s’était réfugiée dans les giboyeuses forêts vierges du sud-est Angola : le “Bout du monde” des Portugais. En 1962, Louis de Contenson et lui partent du Zambèze, en colonne à pied avec huit noirs, à travers le Barotséland, passent la Mashi, étalée sur quinze kilomètres de marais et entrent en Angola. Ils atteignent les Mambukush perdus, vivant dans de hautes enceintes de pieux, montant leurs bœufs, observant le matriarcat. Leurs ravissantes femmes portent une fausse coiffe à cimier et à crinière, dont le luxe inouï contraste avec leur nudité. Des incidents pimentent cette marche de 400 km. Défection de deux équipes successives de Noirs, aux changements de région. Dispute avec un fourbe roitelet qui finit par prêter ses chevaux jusqu’aux halliers sans eau, déserts, assurant l’écran sud des Mambukush. Débuché réalisé quand même grâce aux bœufs et à la pirogue-traîneau, chargée d’outres, d’un humble chef auquel se joint un extraordinaire Bushman : petite équipe d’une grande aventure. Cette liaison géographique est une “première”. La carte vide s’enrichit d’un relevé. L’étude des Mambukush révèle une très curieuse ethnographie, et toute l’expédition est dans la plus pure tradition de Livingstone.