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Simon Carrière, policier, a planté le gyrophare sur le toit de sa voiture, seul moyen de se rapprocher au plus près d'une scène macabre. Toute la cité est bloquée et tous ses habitants présents : jeunes encapuchonnés et pères de famille en une masse compacte, encore sous le choc, mais prêts à en découdre. Les femmes et leurs enfants aux fenêtres ou hululant depuis les balcons : une jeune fille du quartier vient de se suicider... Le capitaine Humbert enquête, lui, sur la disparition d'Aude : elle a été exécutée pour une embrouille de stups. Reste la violence de sa mise à mort. Il y a certainement autre chose derrière tout ça. Séquestrations, violences, balances et autres coups bas, c'est le lot du trafic de stups. Mais Dijon, ce n'est pas encore Marseille, Paris, Lyon ou Grenoble... La dope, ici, ce sont quelques familles, dont des membres sont en contact avec des grossistes basés dans des villes plus importantes. Il y a eu de belles affaires, mais on voit surtout des groupuscules plus anarchiques, quelques lascars qui font des trajets en Hollande pour ramener du produit, jusqu'à ce qu'ils finissent par se faire serrer par la douane volante à Gevrey-Chambertin. On est loin de la French Connection... A moins que les forces de l'ordre ne soient tout simplement trop aveugles pour voir dans ces gosses élevés de travers, pervertis par le fric facile des trafics et entraînés aux luttes viriles et à la violence, l'ombre d'une réalité inéluctable où le viol serait pratiqué comme une arme dissuasive, une arme de pouvoir aussi destructrice qu'une kalachnikov. Tournantes, violences faites aux femmes par des trafiquants de stupéfiants, disparitions de jeunes femmes : mélangeant plusieurs intrigues très contemporaines et nourrie aux faits divers qui ont défrayé la chronique judiciaire, Marie Vindy nous plonge dans un univers à la fois d'une grande proximité - une région et son quotidien avec des personnages auxquels il est aisé de s'identifier - et glaçant par la noirceur qu'il révèle. Son plus grand roman noir. Chiennes nous permet de retrouver les personnages croisés dans Une femme seule et Cavales : l'action se déroule au sein de la section de recherches de la gendarmerie nationale. Née en 1972 à Dijon, Marie Vindy finit par s'orienter vers l'écriture et publie Une femme seule en 2012 (Fayard), puis Cavales en 2014 à la Manufacture de livres. Passionnée de faits divers et de littérature policière, chroniqueuse judiciaire, Marie Vindy vit à Dijon avec son mari et ses...